Recherche de prestataire pour l’événement « hackathon » à Roubaix en novembre 2017

Le projet Centres Sociaux Connectés réunit 8 centres sociaux de l’agglomération de Lille, et vise à développer des solutions numériques en réponse aux besoins des habitants et des enjeux des territoires.

Sa mise en oeuvre est guidée par des méthodes collaboratives et agiles dans un objectif d’innovation ouverte. Elle doit aboutir en 2017 à la livraison de 18 prototypes de solutions numériques en lien avec les piliers d’intervention des centres sociaux (lien social, pouvoir d’agir, éducation-parentalité…) et les évolutions territoriales et sociétales auxquelles ils sont confrontés (précarité, difficultés d’accès aux droits…).

La Fédération des Centres Sociaux du Nord est partenaire du projet avec l’ambition de capitaliser l’ensemble des expérimentations menées et de faciliter l’essaimage des solutions testées localement auprès des centres sociaux à toutes les échelles territoriales (MEL, Région Hauts de France, France).

Dans le cadre de ce projet, nous souhaiterions organiser un événement créatif de type hackathon, qui se déroulera les 03 et 04 Novembre 2017, à la Condition Publique à Roubaix.

Nous recherchons un prestataire pour nous accompagner dans l’organisation de cet événement. Vous trouverez le cahier des charges à télécharger, avec le détail de l’événement et des prestations attendues.

TELECHARGER LE CAHIER DES CHARGES

 

Lancement de l’émission radio « ça cause », l’émission des centres sociaux du bassin minier

A noter dans vos agendas… A compter du 6 septembre, tous les mercredis à 9 h, bénévoles et salariés des centres sociaux du bassin minier vous causent sur RBM 99.6.

Faire comprendre ce qu’est un centre social, faire connaitre les centres sociaux du territoire et donner envie de pousser la porte de l’un d’entre eux… tels sont les enjeux qu’ont décidés de relever collectivement les centres sociaux de Lens, Liévin, Mazingarbe et Noyelles-sous-Lens, 

Un premier enregistrement d’une émission test a eu lieu le 25 août dernier dans les locaux de Radio Bassin Minier à Billy Montigny. Accompagné par Ludovic Bourse, animateur à RBM et ancien animateur au centre social les Marichelles à Liévin, bénévoles et salariés ont pu découvrir et s’initier au monde de la radio. 

Entre stress, solidarité et bonne humeur collective… tous sont du même avis : on y va on se lance !

Ainsi, grâce au partenariat noué entre RBM et la Fédération des centres sociaux du Pas-de-Calais, une émission hebdomadaire a été créée. Chaque mercredi à 9 h (rediffusion le samedi à 9 h),  rendez-vous est donné aux habitants du bassin minier pour un moment de convivialité, de partage et de découvertes…

Pour celles et ceux qui n’auront pas l’occasion d’écouter l’émission le mercredi, le podtcast sera en ligne..

Ecouter en ligne sur  http://www.rbm996.fr/

La page facebook de notre émission « Ça cause, émission radio centres sociaux du bassin minier » ICI
A diffuser largement !!!

 

Appel à voter pour le projet du centre social de Mazingarbe

Le centre social de Mazingarbe candidate Aux Lauréats 2017 de la Fondation de France avec son projet Repair Café.

Le projet qui réunira le maximum de votes sur la plateforme se verra attribué la somme de 6 000€.

Pour voter CLIQUEZ ICI 

Afin de créer du lien social entre les populations et de répondre aux difficultés économiques, le centre a ouvert en octobre 2015 un lieu de réparation d’objets du quotidien et de partage de savoir-faire. A l’heure de la baisse du pouvoir d’achat et du gaspillage de masse, ce Repair Café permet aux uns et aux autres de réparer les objets sans contrepartie financière mais sous forme d’échange de compétences ou de services. Grâce au Repair Café et à ses ateliers collaboratifs, un réseau de compétences se tisse, les problèmes sont mis en commun et les solutions trouvées ensemble;

 

Soirée débat pour la journée de la femme, le vendredi 8 mars à Sailly-sur-la-Lys

Dans le cadre de la journée de la Femme, le Centre Socioculturel de Sailly sur la Lys organise une soirée débat à partir de 19h au Salon d’Honneur de la Mairie. Cette soirée, animée par la Troupe de Théâtre La Belle Histoire sous forme de saynètes d’improvisation, permettra à chacun d’échanger et de débattre sur la thématique de la femme. Au préalable, des questions ont été diffusées auprès des usagers du centre socioculturel pour connaître leurs avis sur la femme d’hier, d’aujourd’hui, de demain, la relation et le lien père-mère, les différences entre les femmes et les hommes dans la société, l’éducation des enfants, le travail, etc… Les réponses obtenues seront affichées sous forme d’une exposition.

Des après midi récréatives pour toute la famille à berck-sur-Mer jusqu’en juin…

La 1ère rencontre se déroulera au Centre Social « Maison Claire » Structure des Chardons, Rond point du Marquenterre à Berck. Cet après-midi permettra aux enfants et à leurs parents de se retrouver autour de la Wii. Chaque après-midi se déroulera sur un lieu différent autour de jeux différents.

A Sains-en-Gohelle, Tout le monde se bouge du 9 au 24 mars. Demandez le programme….

2ème édition pour les habitants du territoire : deux semaines de découvertes et d’initiatives gratuites à des activités physiques encadrées par des professionnels de la santé et du sport. Une initiative du centre culturel et social Soledad en partenariat avec la commune et l’Union régionale des centres sociaux du Nord Pas-de-Calais.

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Des habitants du bassin minier qui lancent le débat sur le logement…

… et qui souhaitent aller plus loin notamment en préparant une rencontre avec les bailleurs et en associant les locataires à la préparation de cette rencontre.

Le Lundi 11 février, malgré des conditions météo peu favorables, une vingtaine d’habitants accompagnés par les centres sociaux de Noyelles-sous-Lens et Mazingarbe se sont rassemblés pour un débat sur le thème « Quoi de neuf dans le bassin minier ? Vivre décemment dans son logement. »

Dans le cadre de la préparation du Congrès national de la Fédération des Centres Sociaux et Socioculturels de France qui aura lieu en juin prochain à Lyon et s’appuyant sur les échanges et constats effectués par les habitants, Marc Barois et Franck Bray (directeurs de chacune des structures) sont à l’initiative de cette rencontre.

Les habitants venus avec un diagnostic constitué de photographies effectuées dans leur quartier ont réalisé un « état des lieux » des deux territoires. Chacun a exposé les satisfactions et difficultés qu’il rencontrait. Il s’agissait à la fois d’évoquer ses « indignations » mais aussi de réfléchir ensemble aux évolutions possibles et à « l’agir ensemble ».

Ainsi, un certain nombre de propositions sont sorties de ce débat :

  • La nécessité de faire évoluer le comportement des personnes notamment sur la décharge libre ou l’entretien de son terrain.
  • Le besoin d’une prise de conscience des bailleurs sociaux sur certaines situations très difficiles tout en développant des temps de concertation avec les bailleurs, préparés en amont, avec des solutions durables et concrètes.
  • Associer les habitants aux réhabilitations en amenant une qualité qui résiste au temps.
  • Réfléchir à la gestion des déchets d’encombrants notamment en termes de volume et de fréquence des ramassages.

Les habitants souhaitent donner suite à ce débat, et notamment, préparer une rencontre avec les bailleurs en associant les locataires à la préparation de cette rencontre.

THEATRE « Assurance-vie », le samedi 2 mars 2013 à Sains-en-Gohelle

Le centre social et cultrurel SOLEDAD vous propose un moment de théâtre et de rencontre. Lorsqu’elle apprend dans le même journée, qu’elle est veuve et… cocue, c’est le ciel qui tombe sur la tête de Suzanne. Cette situation de départ pourrait engendrer un drame… Ce sera une comédie.

Le centre social et cultrurel SOLEDAD  a pour mission (et à la demande des habitants), de promouvoir la culture sur la commune depuis deux ans… et ça marche!!!!

Professionnels et  bénévoles proposent aux habitants du théâtre et de la musique ; quatre salles de répétition ont ainsi été équipée. De plus, Le centre social et cultrurel SOLEDAD organise une dizaine de manifestations dans l’année.

La pièce de théâtre  Assurance Vie sera la première de la série, puis viendront  au printemps des concerts : un festival Métal (en première partie ZUUL FX), à une autre date, le groupe Quimby (« le Noir désir Hongrois ») en tournée européenne actuellement.

Le centre social et cultrurel SOLEDAD s’appuye sur un groupe de jeune (20-25 ans) pour la partie technique son et lumière en leur proposant des stages techniques et « organisationnels » (promotion, création d’affiches…)

L’objectif  de la démarche du centre social n’est pas de faire « un gros coup », mais de proposer une programmation régulière et diversifiée pour tout public tout  en valorisant les jeunes souvent oubliés dans l’offre des activités habituelles.

 

Lorsqu’elle apprend dans le même journée, qu’elle est veuve et… cocue ! À titre posthume, c’est le ciel qui tombe sur la tête de Suzanne. Cette situation de départ pourrait engendrer un drame… Ce sera une comédie.

Aidée de Madeleine et Giselle, ses deux amies d’enfance, cette bourgeoise que l’on croyait HS va surmonter ce choque émotionnel. Avec des fous rire de gamines, ces trois copines depuis la maternelle, vont se donner le temps et le recul nécessaires pour inventer des recettes de Mieux-vivre qu’elles s’échangent avec le même naturel que celui du « Poulet à la Thaïlandaise ».

Tout ce qui normalement génère chagrin et désespoir : solitude des  femmes, inconstance des hommes, déboires conjugaux, sans oublier le certain âge qui approche et l’embonpoint qui s’installe, tout leur est prétexte à rire et à se moquer. Elles trouvent en elles l’ironie, l’humour et une formidable énergie pour rebondir, retourner les situations et redonner à leur vie les couleurs de l’espoir. Tout en démontrant que, de nos jours, les seniors ne font que rajeunir, Génia Carlevaris ajoute un zeste de new âge et signe là une pièce gaie et tonique, définitivement optimiste. « Assurance- Vie » s’inscrit tout à fait dans l’air du temps.

De Génia Carlevaris, mise en scène d’Anne Mayeux, par la Compagnie Théâtrale d’Hinges. « Assurance-vie » a obtenu un prix attribué par la Société des Auteurs et Compositeurs Dramatiques (SACD), ainsi qu’une mention décernée par L’Association Arts et Lettres de France à l’issue de son concours  Littéraire international francophone 2002.

 

TEMPS D’ECHANGES ENTRE PARENTS “Modes de garde collectifs : des bénéfices pour l’enfant et ses parents”, le vendredi 8 mars 2013 à Arras

Le centre social Arras sud propose de manière régulière des temps d’échanges ouvert à tous les parents. Des rencontres qui se déroulent au sein de l’Espace parentalité, lieu de partage d’expériences vécues, de réflexion et de soutien mutuel. Un moyen de chercher ensemble, entre parents, des solutions par rapport à des situations, vécues, exprimées.

Le centre social Arras sud propose de manière régulière des temps d’échanges ouvert à tous les parents. Des rencontres qui se déroulent au sein de l’Espace parentalité, lieu de partage d’expériences vécues, de réflexion et de soutien mutuel. Un moyen de chercher ensemble, entre parents, des solutions par rapport à des situations, vécues, exprimées.

Le soutien aux parents est au coeur des préoccupations du centre social Arras Sud. A ce titre, il co-anime depuis plusieurs années le comité du Réseau d’Ecoute d’Appui et d’Accompagnement des Parents (REAAP)  de l’Arrageois.  En savoir plus

FORMATIONS POUR LES SALARIES et FORMATIONS MIXTES (pour salariés et bénévoles)

Chaque année, l’Union Régionale des centres sociaux
élabore une offre de formation
à destination de tous les acteurs du réseau.

DES OFFRES DE FORMATION A DESTINATION DES SALARIES

  • Gestion dudgetaire et financière : 8 jours,
  • Fonction accueil : 4 jours
  • Gouvernance associative et gestion des ressources humaines : 5 jours
  • Adaptation à la fonction pour les nouveaux responsables de centres sociaux : 8 jours
  • Action parentale et familiale : 5 jours

Pour en savoir plus, CLIQUEZ ICI

DES OFFRES DE FORMATION MIXTES : A DESTINATION DES SALARIES ET DES BENEVOLES

  • S’initier à l’analyse financière : 2 demi-journées
  • Faire émerger, accompagner et promouvoir les initiatives des usagers : 8 séances
  • Favoriser le développement de projets de lutte contre les discriminations : 7 jours
  • Accompagnement à la scolarité et animation du lien famille, école, quartier : 4 jours
  • Des pratiques d’animation collective aux pratiques de DSL : 5 jours
  • Créer et gérer un site Internet avce les usagers : 2 jours
  • Utiliser la vidéo sur Internet avec les usagers : 2 jours

Pour en savoir plus, CLIQUEZ ICI

Week end autour de la marionnettes, les 22, 23 et 24 février 2013 à Longuenesse

Tout un week-end animé par le Centre régional de la marionnette. Au programme : spectacles mais aussi échanges avec les artistes sur la vie de marionnettiste, atelier de création de marionnettes…

Cette action mise en place en collaboration avec le Centre régional des marionnettes, permet par son programme accessible à tous, de faire entrer  la culture  au sein du quartier Maillebois et des environs. Tout un week end marionnettes également prétexte à la rencontre entre habitants,  toutes générations confondues, au partage entre parents et enfants…

PROGRAMME DES TROIS JOURS

  • VENDREDI 22 FEVRIER  à partir de 19h : « 40 ANS DE MARIONNETTES AU MOINS »
    Tout public à partir de 8 ans –  Un spectacle qui raconte avec humour et en marionnettes, la vie de marionnettiste, les apprentissages qui l’ont précédée, les rencontres, les choix artistiques. Echanges avec les particiapnts à la fin de la représentation.
  • SAMEDI 23 FEVRIER à partir de 10 h :  « ATELIER PARENTS – GRANDS PARENTS – ENFANTS »
    Tout public.  Atelier qui permet aux familles encadrées par des animateurs spécialisés de fabriquer leurs propres marionnettes… pour faire naitre, qui sait… des vocations !
  • SAMEDI 23 FEVRIER  à partir de 15h : « LE CHAPITEAU ROUGE »
    A partir de 2 ans. Spectacle de cirque en marionnettes à fils.
  • DIMANCHE 24 FEVRIER à partir de 16h :
    A partirde 5 ans. Spectacle à intrigue policière mêlant marionnettes et comédien.

Venez découvrir le centre social Espace Fort de Calais, le samedi 9 février 2013

De 13h30 à 17h30. De nombreuses activités pour tous : bébés, enfants, parents…

Contact :
Centre social Espace Fort
2 Bis Rue Ajaccio  62100 Calais
Tel : 03.21.34.55.33
Site : espacefort.centres-sociaux.fr

Retour sur les voeux des centres sociaux du calaisis, le samedi 26 janvier 2013

Pour la troisième année consécutive, les quatre centres sociaux du calaisis se sont regroupés pour organiser, comme toujours en toute convivialité, leur cérémonie des voeux. Cette année, l’évènement a eu lieu à Marck-en-Calaisis.

Pour la troisième année consécutive, les quatre centres sociaux du calaisis se sont regroupés pour organiser, comme toujours en toute convivialité, leur cérémonie des voeux.  Cette année, l’évènement a eu lieu à Marck-en-Calaisis.

Yves Sabatier, le Président du Centre Social Espace Fort de Calais a pris la parole au nom des quatre centres sociaux (Sangatte, Marck-en-Calaisis, Calais Matisse, Espace Fort) et a adressé ses voeux de bonne et heureuse année 2013 à l’ensemble des personnes présentes.

Il a, entre autre, rappelé le travail mené en commun en 2012 sur la thématique santé et notamment l’organisation de deux temps forts les 5 octobre et 19 novembre 2012. Deux temps forts qui avaient suscité le débat et qui avaient mobilisé bon nombre d’usagers et adhérents.

Le buffet servi a été réalisé par les usagers des quatre centres sociaux.

Les présents à la tribune pour les discours : Serge Péron Maire de Marck et Conseiller Général, Yves Sabatier Président du centre social Espace Fort, Mme Dumont Vice-Présidente de la CAF, Philippe Blet Président de Cap Calaisis Terre d’Opale, Alain Boisson Président de la Fédération des centres sociaux du pas-de-Calais, Yann Capet Député et Conseiller Régional.

SOUTENEZ LE PROJET VACANCES DES FAMILLES DE SAINS-EN-GOHELLE en déjeunant au Cht’tio resto, le mardi 12 février 2013

L’atelier cuisine du centre culturel et social Soledad sera heureux de vous accueillir avec ce concept de restauration ponctuelle qui financera une partie de leur projet vacances familiales 2013

L’atelier cuisine du centre culturel et social Soledad seraheureux de vous accueillir avec ce concept de restauration ponctuelle qui financera une partie de leur projet vacances familiales 2013.

Voyage au coeur de la culture tzigane, du 19 au 27 janvier 2013 à Lillers

A découvrir : la musique, la cuisine, la culture tzigane, un peuple aux multiples facettes et à l’histoire ancestrale. Le centre social La Maison Pour Tous s’associe à cette semaine ; une manière de contribuer à démonter les préjugés et à renforcer le rapprochement des peuples.

Venez découvrir la musique, la cuisine, la culture tzigane… Un peuple aux multiples facettes et à l’histoire ancestrale.
Le centre social La Maison Pour Tous s’associe à cette semaine ; une manière de contribuer à démonter les préjugés et à renforcer le rapprochement des peuples.

Pour télécharger la plaquette,
cliquez ici

Un Un

REPORTE AU 11 FEVRIER : DEBAT SUR LE LOGEMENT DANS LE BASSIN MINIER à 14h au centre social des Brebis de Mazingarbe

Initialement prévu le 21 janier, le débat a été reporté pour cause d’intempéries. Organisé par les centres sociaux de Noyelles-sous-Lens et de Mazingarbe au centre social des Brebis de Mazingarbe. Ouvert à tous les habitants du territoire de Lens-Liévin. Dans le cadre de la préparation du Congrès 2013 des centres sociaux de France.

UN DEBAT INITIALEMENT PREVU LE LUNDI 21 JANVIER

ET REPORTE POUR CAUSE D’INTEMPERIES

FORUM SANTE du lundi 28 janvier au vendredi 1er février 2013 à Arques

Edition 2013 organisée par le centre social Jean Ferrat. Expositions, ateliers sportifs et pédagogiques (vidéo, jeux…), rencontres-débats… ; une semaine pour parler autrement de la santé et prendre soi de soi et de ses proches. Thémes abordés : le sommeil chez l’enfant, les addictions, l’équilibre alimentaire, l’activité physique… En présence de nombreux partenaires et acteurs de santé.

Pourquoi le centre social Jean Ferrat  s’occupe de santé ?

Il est difficile de faire l’impasse sur les questions liées à la santé car elles concernent au quotidien les usagers du centre social. Ainsi, en s’appuyant sur des professionnels de santé, le centre social contribue à informer, orienter et conseiller les habitants afin qu’ils puissent prévenir et/ou agir sur les problèmes de santé qu’ils rencontrent.

Pourquoi un forum santé ?

Chaque année, le centre social organise un forum autour des pratiques addictives et un second autour des questions liées à la santé au sens large. Cette année, il a été décidé de réunir les deux forums en un. En effet, trois thématiques principales sont travaillées depuis plusieurs années avec les adultes, les enfants, les séniors, en famille : Alimentation et activités physiques – Pratiques addictives – Santé et environnement. Le forum a pour objectif de mettre en avant, durant une semaine, les actions réalisées tout au long de l’année et de sensibiliser les habitants aux questions liés à la santé.

Ainsi, durant une semaine,chacun aura facilement accès à des informations données par des professionnels, à des expositions, des activités ludiques et sportives.

Certains usagers reconnaissent avoir des difficultés et des angoisses lorsqu’ils doivent consulter un médecin ou un spécialiste par peur d’un diagnostic négatif. Et Il n’est pas toujours facile de trouver un interlocuteur « rassurant » pouvant répondre aux différentes questions. Les jeunes ont, quant à eux, ont parfois une forme d’inconscience dans leurs pratiques de consommations excessives (alcool, tabac, drogue, écrans…). A travers les actions santé et notamment le forum, le centre social permet aux habitants d’être mieux informés et de prendre contact avec des professionnels dans un contexte familier et convivial, favorisant une relation de confiance plus aisée vis à vis des professionnels de santé (infirmières, médecins, éducateurs).

A découvrir ci-dessous, le programme de l’édition 2013…

Renseignements :

Sylvain CLABAUT,
centre social Jean Ferrat
Rue Aristide Briand, 62510 ARQUES
tel : 03 21 88 37 37
mail : centresocial.arques@gmail.com
site : arques.centres-sociaux.fr

SOUTIEN AUX PROJETS VACANCES DES HABITANTS – 2013

Le partenariat entre la Fédération des centres sociaux de France (FCSF) et l’Agence Nationale des Chèques Vacances (ANCV) se renouvelle en 2013 au bénéfice d’habitants* accompagnés, par les centres sociaux adhérents à notre réseau, dans la construction de leur projet vacances. La FCSF soutient en effet dans le cadre de ce partenariat les projets de personnes qui ne partent pas ou peu en vacances en apportant, par l’intermédiaire des centres sociaux qui en font la demande, une aide au financement des dépenses logistiques de leur séjour (hébergement, transport, alimentation, loisirs).

Toutes les informations sur les modalités d’utilisation de ces aides,
le type de projets soutenus, les habitants concernés
et la marche à suivre, en CLIQUANT ICI

Attention !
La date limite de retour de votre dossier de participation à la FCSF a été fixée cette année au 15 mars 2013 pour les séjours estivaux.

* familles, jeunes 16-25 ans, adultes et seniors partant pour des séjours intergénérationnels dont les revenus des habitants sont < ou = au QF 650 ou < ou = au QF 700 pour ceux issus des quartiers de la Politique de la ville

PARUTION DE LA LETTRE EMPLOI FORMATION N°2 de la branche professionnelle Alisfa en Nord Pas-de-Calais

La majorité des centres sociaux de la région, et environ 60% des centres sociaux du Pas-de-Calais, sont des associations loi 1901 appartenant à la branche professionnelle ALISFA (Acteurs du Lien Social et Famillial). ALISFA réunit à l’échelle nationale des associations de trois types : des centres sociaux, des structures d’accueil du jeune enfant et des associations de développement social local.

ALISFA s’est dotée depuis longtemps d’une CPNEF (Commission Paritaire Emploi Formation) qui définit la politique emploi-formation à l’attention des employeurs et des salariés. Afin d’atteindre ses objectifs, la CPNEF s’appuie sur des référents Emploi-Formation dans les régions. En Nord-Pas-de- Calais, c’est l’Union Régionale des Centres Sociaux (URCS 59/62), en partenariat avec l’association Colline ACEPP Nord Pas-de-Calais pour les structures petite enfance, qui est chargée de cette mission. David Sézille, délégué à la Fédération des centres sociaux du Pas-de-Calais est le Référent Emploi- Formation CPNEF Nord Pas-de-Calais.

Découvrez la lettre emploi formation n°2
(Janvier 2013)

SOMMAIRE :

  • Complet pour les formations ADEC 2012. Les inscriptions pour 2013 sont ouvertes
  • Zoom sur les dispositifs de financement de la formation professionnelle
  • Les brèves

Pour télécharger la lettre Emploi-Formation n°2,
CLIQUEZ ICI

 

THEATRE « Adieu Papa », le vendredi 25 janvier 2013 au centre socioculturel Audrey Bartier de Wimereux

Il est de coutume chez nous, avant que le défunt ne soit mis en terre que famille parents, amis et inconnus viennent rendre une dernière visite à celui qui est passé de l’autre côté. Ce moment, certes douloureux, ne prête pas à rire sauf quand on le met sur une scène de théâtre…

« Il est de coutume chez nous, avant que le défunt ne soit mis en terre que famille parents, amis et inconnus viennent rendre une dernière visite à celui qui est passé de l’autre côté.

Ce moment, certes douloureux, ne prête pas à rire sauf quand on le met sur une scène de  théâtre.  Des personnages aussi chaleureux que fous, aussi extravagants que rigides, aussi mal dans leur pompe que sur un cheval, aussi amoureux que tristes, des personnages qui nous racontent la vie du mort, leur façon de voir la vie, leur vie autour d’un cercueil… le tout joué par un seul comédien ! »

ADIEU PAPA est un mélange entre le monologue et le One-man-show à mourir de rire !

Date et lieu :
Le Vendredi 25 janvier 2013 à 20H,
au Centre Socioculturel Audrey Bartier
42 rue du Baston – 62930 WIMEREUX

Tarif unique :
6 euros, gratuit pour les moins de 12 ans et pour les demandeurs d’emploi

Réservez dès maintenant

  • soit au 09.64.12.75.36
  • soit par mail t.deboulonne@wanadoo.fr
  • ou sur  : http://letheatredeboulonne.fr

Ecrit et interprété par Arnaud Evrard. Mise en scène par Olivier Lepetit. Musique interprétée par « GOWY » http://www.gowy.fr. Affiche réalisée par ACCIMA http://www.accima.fr  et Luccah Photography http://www.luccahphotography.fr.

AMELIORER L’ACCES A LA CULTURE POUR TOUS

La Fédération des Centres Sociaux du Pas-de-Calais et l’association Cultures du Coeur du Nord réfléchissent et travaillent depuis plusieurs mois à fédérer leurs actions afin d’améliorer l’accès à la culture pour tous. C’est dans ce contexte qu’une première réunion a eu lieu en avril 2012 réunissant les centres sociaux de Calais et de l’Audomarois. Lors de cette rencontre, nous avons convenu d’ouvrir cette démarche aux structures culturelles et socio-éducative du réseau de Cultures du Coeur. C’est dans cette perspective que lors d’une rencontre, le 21 septembre 2012, des centres sociaux du Calaisis et de l’Audomarois ainsi que des structures culturelles se sont rencontrées.

Pour poursuivre cette démarche, une nouvelle rencontre est prévue le

VENDREDI 25 JANVIER 2013 de 9h30 à 12h

Au centre social Jean Ferrat – rue Aristide Briand à Arques
TEL : 03.21.88.37.37

A l’ordre du jour de la matinée :

  • Présentation de la démarche par la Fédération des Centres Sociaux 62 et Cultures du Coeur du Nord,
  • Tour de table,
  • Emergence de perspectives pour le groupe de travail

Incrisption (ou excuses) :

Aude VANACKER au 03.28.64.59.01 ou à cdcdunkerque@gmail.com

Nous voici à l’aube de l’année 2013 ; dans un contexte à tonalité peu optimiste, nous avons confiance dans les capacités du Réseau à agir.

Je suis convaincu que, comme les années précédentes, les acteurs bénévoles et salariés de nos centres sociaux continueront à défendre avec vigueur le projet social et par là même à créer des conditions favorables à l’épanouissement de chacun.

Je suis convaincu que, comme les années précédentes, les acteurs bénévoles et salariés de nos centres sociaux continueront à défendre avec vigueur le projet social et par là même à créer des conditions favorables à l’épanouissement de chacun.

J’en veux pour preuve que cette année 2013 verra se dérouler la dernière étape du congrès auquel plus de cinquante personnes de notre réseau départemental se sont d’ores et déjà inscrites ; la marque d’un réel engagement. Voilà qui devrait redynamiser et renforcer la volonté de chacun de s’investir.

Répondre au mieux aux attentes et besoins des habitants dont certains affrontent des difficultés grandissantes est notre responsabilité, continuons de l’assumer avec détermination et gardons confiance dans notre capacité d’agir.

A toutes et tous, je souhaite une excellente année 2013 !

Alain BOISSON,
Président de la Fédération des Centres Sociaux du Pas-de-Calais

 

FORMATION  » METTRE L’ECONOMIE AU SERVICE DU PROJET SOCIAL » : 2 sessions au choix

La Fédération des centres sociaux de France (FCSF) propose à ses adhérents et aux centres sociaux non adhérents une fédération de centres sociaux, deux sessions de formation au choix de 6 jours (2×3 jours).

Les centres sociaux rencontrent parfois des difficultés en matière de gestion financière et de ressources humaines. Les financeurs ont besoin de savoir que le centre social est piloté de manière efficiente. Ils demandent que la gestion financière soit rigoureuse, transparente et fidèle à l’activité. Cette action de formation répond à ces exigences et permet d’acquérir des compétences en matière de diagnostic  financier, organisationnel et en contrôle de gestion.

Découvrez l’offre de formation en cliquant ici

SESSION PRINTEMPS
cliquez ici pour télécharger le bulletin d’inscription

  • module 1 : les 23, 24, 25 janvier 2013
  • module 2 : les 18, 19, 20 mars 2013.

SESSION AUTOMNE
cliquez ici pour télécharger le bulletin d’inscription

  • Module 1 : les 7, 8, 9 octobre 2013
  • Module 2 :  les 18, 19, 20 novembre 2013

Renseignements :

Dalila BELABBAS, Responsable du Pôle Gestion
Tel : 01.53.09.96.17
Mail : Dalila.Belabbas-Bengraa@centres-sociaux.asso.fr,

SOUTENEZ LE PROJET VACANCES DES FAMILLES DE SAINS-EN-GOHELLE en déjeunant au Cht’tio resto, le mardi 15 janvier 2013

L’atelier cuisine du centre culturel et social Soledad seront heureux de vous accueillir avec ce concept de restauration ponctuelle qui financera une partie de leur projet vacances familiales 2013.

Depuis plusieurs années,  avec l’aide de bénévoles et des travailleurs sociaux de la CAF et du Conseil Général, des familles de Sains-en-Gohelle s’organisent pour partir en vacances. Il s’agit en premier lieu de permettre à tous de prendre quelques jours de repos, de se retrouver entre parents et enfants, de découvrir de nouveaux paysages, de nouvelles sensations.

Les vacances, un droit pour tous ; de nombreuses familles de Sains-en-Gohelle ont pu partir pour la  première fois en vacances grâce à ces démarches portées par le centre culturel et social Soledad. Choix de la destination, du mode d’hébergement,  du moyen de transport… les familles « partantes » sont parties prenantes tout au long de la préparation du séjour. La recherche de financement est une partie non négligeable de l’investissement des familles : vente de cases, de chocolats faits maison, de soupes, de confitures et organisation de repas sous forme de restaurant ouvert à tous…

C’est ainsi que les familles, les bénévoles et les salariés du centre culturel et social vous donnent rendez-vous pour leur premier repas de l’année 2013… Venez les soutenir en nombre !

Renseignements et inscriptions : 

Sylvie QUAI,
Centre Culturel et Social Soledad
Place Lyautey, 62114 SAINS EN GOHELLE
Tél 03.21.45.62.40
Fax : 03.21.44.51.69
Mail :  ccs.sains@wanadoo.fr
Site : http://soledad.centres-sociaux.fr

FORMATIONS 2013 FINANCEES DANS LE CADRE DE L’ADEC : les inscriptions sont ouvertes

Près de 45 acteurs issus des centres sociaux et des structures d’accueil du jeune enfant de la région ont pris part, en 2012, à l’une des formations proposées dans le cadre de l’ADEC (Action de Dévelopepement des Emploius et des Compétences. Pour en savoir plus au sujet de l’ADEC, cliquez ici)

Quatre formations avaient été proposées en 2012 :

  • Droit du travail,
  • Gouvernance associative et GRH,
  • Accueil,
  • Développement des pratiques éco-responsables.

Certaines inscriptions n’ont pu être retenues faute de place.

Forte de ce succès, l’équipe régionale Emploi – Formation CPNEF
vous propose de nouvelles sessions en 2013 :

Action 1 (4 jours) : 30 janvier, 1, 8, 14 février :
Bientraitance institutionnelle et qualité d’accueil
Pour en savoir plus,  CLIQUEZ ICI

Action 2 (4 jours) : 4, 14 mars et 4, 5 avril :
La fonction d’auxiliaire petite enfance en lieu d’accueil collectif associatif
Pour en savoir plus, CLIQUEZ ICI

Action 3 (4 jours) : 10, 11, 24, 25 octobre :
Le droit du travail et la convention collective ALISFA
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Action 4 (4 jours) : 13, 20, 27 sept, 4 octobre :
Faire émerger, accompagner et promouvoir les initiatives d’usagers et de parents
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Ces quatre formations ont été retenues par le comité de pilotage régional ADEC pour l’année 2013 ; les coûts pédagogiques sont totalement pris en charge.

Chaque structure adhérente à ALISFA a reçu par mail la fiche de présentation de chacune de ces formations. Pour inscrire un ou plusieurs de vos salariés, vous avez reçu un fichier d’inscription (un tableur Excel composé de quatre onglets : un onglet par formation). Fichier qu’il vous appartient de remplir et d’envoyer par courriel uniquement, à Olivia Retière votre correspondante UNIFORMATION (oretiere@uniformation.fr)

Pour téléchargez le fichier d’inscrption, CLIQUEZ ICI

Attention : l’envoi de votre fichier correspond à une pré-inscription. 15 jours avant le démarrage de la formation, Uniformation vous confirmera l’inscription définitive de votre(vos) salarié(e)s, le démarrage effectif de l’action et son lieu (en fonction du nombre d’inscrits et de leur origine géographique).

Pour toute information, contactez vos référents Emploi Formation : 

  • David SEZILLE (Fédération centres sociaux 62),
    Référent Emploi Formation ALISFA, O6 11 21 40 75
  • Laurence HOSPIE (Association Colline Aceppe 59/62),
    Co-référent Emploi Formation ALISFA, 03 20 88 26 49
  • Pascal MATOT (Fédération des centres sociaux du Nord),
    Co-référent Emploi Formation ALISFA, 06 12 36 23 75
  • Olivia RETIERE, Conseiller Uniformation, 06 28 23 41 22

 

RAPPORT FINAL : contribution des centres sociaux à la concertation sur la Politique de la Ville

Un texte issu d’un temps de travail avec 25 directeurs de centres sociaux implantés en territoire politique de la ville et qui a été remis officiellement à François Lamy, ministre délégué à la politique de la ville le 18 décembre dernier. Un travail réalisé dans le cadre de la concertation pour la réforme de la politique de la ville à laquelle la Fédération des centres sociaux de France participe et qui se termine le 31 janvier.

Tout en participant à la concertation nationale et en ayant versé au débat avec Questions de ville le rapport national sur les Quartiers intitulé « on voudrait entendre crier toutes les voix de nos cités », la Fédération des Centres Sociaux de France (FCSF) a réuni 25 responsables de structures implantées en site Politique de la ville ainsi que quatre délégués de fédérations implantées dans des départements fortement urbanisés.

Ce travail de concertation a permis d’élaborer la contribution qui vous est présentée.

La FCSF a pris le parti de réaliser un document court et contenant des propositions concrètes afin de contribuer le plus efficacement au travail de concertation. Ainsi certaines impasses sur une analyse plus complète de la situation précédente ont été réalisées.

Nous avons mis en annexe (à télécharger) les remarques collectées par ces professionnels de terrain durant la journée de travail commune. Vous y trouverez ce qu’ils considèrent comme les points forts et points faibles de la politique de la ville durant ces dernières années.

Nous retenons de ce temps rapide d’échange : une grande diversité d’avis liée à la façon dont le dispositif Politique de la Ville est animé sur le territoire, la difficulté à articuler le dispositif aux projets émergents. Dans la majorité des cas exposés ce jour là les associations doivent « rentrer dans le cadre ».

1. Zonage et/ou projet de territoire ?

Nous avons une réserve extrême sur ce procédé de zonage. Il nous semble contenir des effets secondaires néfastes qui nous poussent à penser que le bilan est globalement négatif malgré les effets positifs recherchés.

Les raisons de cet avis sont les suivants :

  • L’instauration d’un zonage installe de fait une concurrence.
    A une rue près, d’un trottoir à l’autre il est possible de développer une activité ou non. Il faut pouvoir prouver la gravité de la situation, revendiquer le nombre d’incivilités, d’enfants en échec scolaire ou de voitures brulées pour pouvoir prétendre à plus ou moins de moyens supplémentaires. Les critères utilisés pour définir le zonage restent toujours sujets à caution.
  • C’est un frein à la cohésion sociale.
    Le zonage installe des frontières, dresse des murs et montre du doigt des territoires. Les problèmes rencontrés dans ces zones sont intimement liés à la façon dont le reste du territoire vit. Les questions posées concernent donc l’ensemble d’une agglomération, d’un équilibre à trouver entre plusieurs territoires. Zoner donne l’impression que les réponses sont à trouver sur place et que l’apport ciblé de moyens supplémentaires peut apporter une réponse suffisante. Nous pensons que les questions posées par ces quartiers interrogent profondément des façons de vivre ensemble sur un bassin de vie. Pour changer quelque chose dans ces quartiers il faut changer des fonctionnements dans d’autres territoires ou dans des mondes sociaux les jouxtant. Par exemple comment travailler les questions d’emploi sans travailler les questions de discrimination ? Comment travailler les questions de réussite scolaire sans penser avec l’éducation nationale un projet éducatif intégrant les questions liées à la carte scolaire, à la capacité de coopérations inter-écoles ?
  • La multiplication des zonages.
    Les différents zonages utilisés au cours de ces dernières années (décennies) et qui se superposent plus ou moins, ont complexifié la lecture d’un territoire et l’articulation de projets entre différents types d’acteurs. Nous avons des exemples de projets n’ayant pas pu aboutir du fait d’une inégalité des acteurs face aux règles imposées par le zonage. Par exemple : une entreprise voulant faire un effort d’embauche de jeunes en difficulté mais n’ayant pas son siège social en ZFU va avoir du mal à s’intégrer dans un projet d’insertion professionnelle avec d’autres entreprises bénéficiant elles des avantages de la ZFU. Une structure de quartier bénéficiant des aides d’un CUCS ne va pas facilement pouvoir collaborer sur des projets avec une association ne bénéficiant pas des mêmes aides.

Que proposons-nous en alternative à ces zonages ?

La politique de la ville pourrait être la résultante d’un croisement entre

  • une interpellation de l’État au vu d’indicateurs sociaux et économiques dont il dispose,
  • l’interpellation de collectivités territoriales au vu de leur connaissance des réalités sociales, économiques, culturelles de leur territoire de compétence
  • l’interpellation de citoyens (organisés au sein d’associations, syndicats ou non) forts de leur expertise d’usage héritée de leur action menée sur le terrain ou simplement de leur présence continue sur leur quartier.

Une saisine
La saisine pourrait être effectuée par une de ces catégories d’acteurs. A partir de cette interpellation, l’Etat peut être l’animateur de la concertation et garant d’une démarche de diagnostic partagé et participatif avec le plus grand nombre d’acteurs.

Un diagnostic pour un projet de territoire partagé
Ce diagnostic inaugure la première étape de l’écriture d’un projet de territoire au sein duquel chaque catégorie d’acteurs pourrait prendre sa place, son rôle et sa responsabilité. Le contrat urbain découlant de ce projet serait alors signé par le plus grand nombre d’acteurs y compris les associations ou pourquoi pas certains habitants militants. Cette démarche peut exister dans n’importe quel territoire. Par contre l’Etat pourrait choisir d’apporter plus de moyens financiers et/ou humains exceptionnels dans certains territoires prioritaires. Cela ne l’empêche pas de prendre sa place d’animateur du processus participatif au titre des moyens apportés au nom du droit commun et de s’assurer que ces moyens de droit commun sont correctement mobilisés. Ainsi les territoires en Politique de la ville peuvent rester aussi nombreux sans empêcher de concentrer les moyens spécifiques sur certaines « zones ».

Une attention particulière à l’attribution de la DDU
Au-delà de cette approche locale nous pensons que l’effet redistributeur de la Politique de la ville (par le biais de la dotation de développement urbain) entre territoires disposant en même temps d’un bassin d’emploi dynamique, d’une situation géographique et socio-économique favorable et d’autres subissant la disparition d’activités industrielles, d’un parc de logement social important et d’une population aux revenus modestes et/ou précaires est primordial. Cela prouve à nouveau que les problématiques d’un territoire ne peuvent trouver certaines solutions qu’au coeur d’un contrat social plus large.

 

2. Pilotage

Plusieurs contributions sur ce sujet :

  • Une politique vraiment interministérielle.
    Nous pensons qu’une partie de l’efficacité de cette politique pourrait reposer sur une véritable capacité du ministère de la ville et à ses représentants dans les préfectures de provoquer de l’interministérialité y compris dans la possibilité de mobiliser le « droit commun », d’animer des groupes de travail transversaux. La prise de position du premier ministre ce mercredi 05 décembre suite à la circulaire du 30 Novembre tend à prouver que c’est aussi la volonté du gouvernement. Structurellement le mode de fonctionnement doit surement être interrogé pour inscrire cette capacité d’interpellation interministérielle dans la durée.
  • Le projet de territoire.
    Évoqué dans le paragraphe précédent, le projet de territoire doit pouvoir être le socle du contrat passé entre le plus grand nombre d’acteurs. Les habitants doivent avoir toute leur place dans ce projet. Ce projet n’est pas rédigé seulement pour organiser l’action des institutions, il doit mobiliser les énergies du plus grand nombre d’acteurs : éducatifs, économiques, sociaux, environnementaux, politiques, associatifs. Il s’agit de se donner une ambition en comptant aussi sur les solidarités dont sont capables les citoyens pour atteindre les objectifs fixés.
  • Un tandem au pilotage.
    Dans les territoires où le délégué du préfet et le chef de projet CUCS coopèrent bien il y a satisfaction des acteurs de terrain. Cette complémentarité semble adaptée.
  • Participation des habitants.
    Sur ce sujet nous nous reportons aux propositions faites par le CNV en janvier dernier. Nous nous retrouvons bien dans ces préconisations.
  • Une simplification administrative urgente.
    Les centres sociaux témoignent de la complexification régulière de l’administration des dossiers politique de la ville. La multiplicité des financeurs qui ne réussissent pas à harmoniser leurs exigences en matière d’instruction et de rendu de bilan est une réélle perte de temps pour les directeurs(trices) des centres sociaux. Le temps ainsi passé n’est pas consacré à la présence sur le terrain ou à l’animation de démarches de coopération locale.
  • Un financement prenant en compte la temporalité du projet de territoire.
    Dans le même esprit que la dernière remarque et afin de sécuriser le fonctionnement des équipes pour leur laisser consacrer leur énergie à leur coeur de mission : agir avec les habitants, il faut pouvoir organiser une pluriannualité du financement des missions et actions devant se déployer sur l’ensemble de la durée du projet de territoire. Cela n’empêchant pas une évaluation annuelle et un dialogue en équipe de pilotage.
  • Pas de réhabilitation sans projet social et économique. Sans contester l’intérêt des opérations de réhabilitation en matière de qualité de logement et d’amélioration du cadre de vie, la part congrue laissée au projet social de ces opérations menace d’ores et déjà leur efficacité. Les témoignages ne manquent pas pour pointer le manque d’appropriation de ces nouveaux logements par les familles ainsi relogées. Il est à parier que les bailleurs vont devoir continuer de prévoir un budget conséquent pour l’entretien contre les dégradations. Nous préconisons qu’un PNRU II ne puisse voir le jour sans que les dossiers de candidature soient dans l’obligation d’avoir vraiment travaillé avec les habitants le montage de cette opération de réhabilitation et qu’un projet social et de développement économique ait été élaboré avec le maximum d’acteurs locaux. Cette opération de réhabilitation doit pouvoir donner l’occasion d’une impulsion également dans ces domaines.

3. Des thématiques prioritaires

Nous pensons que des questions sociales sont plus urgentes que d’autres car une amélioration dans ces domaines ont un effet levier pour une évolution positive d’autres thématiques.

L’EDUCATION
Une attention particulière est à apporter aux questions éducatives. Le projet territorial doit comporter un volet éducatif afin que le « monde adulte » puisse présenter une certaine cohérence. Comme nous le notions dans le rapport national sur les quartiers il y a dans ces territoires une certaine bienveillance des habitants à la situation rencontrée par les adolescents et jeunes. Il faut s’appuyer sur cette volonté de voir les jeunes « s’en sortir » pour mobiliser. Pour cela l’éducation nationale doit pouvoir accompagner ses équipes pour que, de façon plus habituelle, plus naturelle, ils se positionnent dans une démarche d’ouverture aux autres acteurs éducatifs que côtoient « leurs » élèves. S’ils ne veulent pas se retrouver seuls devant certaines difficultés il leur faut considérer ces acteurs comme des interlocuteurs valables ! « Il faut tout un village pour éduquer » dit le proverbe. Il n’y a pas trop d’un quartier mobilisé pour proposer aux enfants, adolescents et jeunes un avenir engageant. Un projet éducatif partagé doit proposer des objectifs éducatifs précis et permettre d’engager des actions communes entre l’école, les associations locales, les clubs de sport, les équipements culturels de la ville, l’éducation spécialisée, les travailleurs sociaux, et pourquoi pas les commerçants, les médecins, … En ce qui concerne les centres sociaux nous aimerions retrouver dans ce projet éducatif l’apprentissage de la coopération et la découverte d’autres milieux (géographiques, sociaux, culturels). La rencontre de l’altérité est source de prise de recul et de meilleure appréhension du monde.

L’EMPLOI
Cette question est complexe. Nos propositions ne prétendent pas résoudre la question du chômage mais participer d’une solution plus globale.

  • L’accueil et le suivi des jeunes :
    des dispositifs existent localement en France (postes AILE dans le Nord, PAPEJ en PACA par exemple) qui organisent un suivi personnalisé des jeunes. Ces systèmes nous semblent plus efficaces qu’un fonctionnement en « guichet ». Il faut des professionnels engagés aux côtés des jeunes qui les accompagnent, qui aient les moyens d’agir en « milieu ouvert ».
  • Le soutien aux initiatives économiques. Les quartiers peuvent être des lieux de création d’activités. Un programme ambitieux de développement économique dans ces territoires passe par un soutien aux « entreprenants » pour qu’ils deviennent entrepreneurs. Pour cela il faut d’une part rendre accessibles les outils existants d’aide à la création d’activités économiques : financements (microcrédit par exemple et les différents organismes apportant leur aide dans le montage financier initial), présentation des outils de l’économie sociale (coopérative d’activité et d’emploi, statut associatif ou coopératif), conseils de gestion et de marketing (cf réseau des boutiques de gestion, services économiques des agglos ). D’autre part il est nécessaire de s’appuyer sur des acteurs locaux pour penser le développement local. C’est dans la connaissance fine d’un territoire que des opportunités peuvent être repérées. Les régies de quartier l’ont prouvé depuis longtemps. C’est aussi dans cette proximité qu’il est possible de repérer et soutenir les « entreprenants ».

4. quelle place pour le centre social dans les dispositifs Politique de la Ville ?

Nous pensons que la mission d’animation globale d’un centre social lui confère une place toute particulière.

  • Reconnaissance de sa mission d’animation globale,
    à savoir mission de veille, de repérage des envies d’agir, des questions sociales et de leur évolution, de mobilisation de la participation des habitants, Cette reconnaissance induit que le centre social peut ainsi être positionné comme l’interlocuteur privilégié lorsqu’il s’agit d’organiser la concertation avec les habitants. Sa proximité et la présence quotidienne sur le terrain de ses équipes salariées et bénévoles en font un « passeur » de qualité pour contribuer à un dialogue de qualité avec les habitants. Non pas pour réaliser de la « concertation » autour d’un programme public déjà ficelé mais pour contribuer à une démarche de co-élaboration à partir d’une analyse partagée avec les habitants.
  • Acteur engagé dans la définition du projet de territoire.
    Leur obligation de réécrire tous les 4 ans un projet social fait des centres sociaux des experts en la matière. Sans en être les pilotes, les centres sociaux peuvent représenter des alliés de choix dans la dynamique à animer pour l’élaboration d’un projet de territoire. Ils connaissent les forces vives du quartier, développent habituellement un partenariat très riche pour mener à bien leurs missions. Ils savent organiser l’interface entre élus et habitants.
  • Acteur reconnu pour sa capacité d’interpellation s’appuyant sur sa fonction de veille partagée avec les habitants et son objectif de développement du pouvoir d’agir des habitants. Enrichir la démocratie de proximité, s’appuyer sur l’expertise d’usage des habitants pour augmenter les chances de la politique de la ville d’être efficace, nécessite surement de reconnaître au centre social une capacité d’interpellation des pouvoirs publics sur certaines réalités du quartier. Si elle est ainsi reconnue, cette interpellation risque moins d’être vécue comme un « contre-pouvoir » local mais comme une contribution constructive au mieux vivre dans ces quartiers. En capacité d’entendre une parole, de la recueillir et de la qualifier (c’est à dire de la faire passer du stade d’incantation à une proposition construite tenant compte de certaines contraintes et réalités) les centres sociaux se situent alors comme de puissants acteurs de cohésion sociale.
  • Partenaire de l’équipe MOUS
    Tous ces rôles cités nous semblent justifier que les centres sociaux puissent être reconnus, dans les textes qui vont organiser la politique de la ville à l’avenir, comme des partenaires des équipes MOUS. Cette officialisation éviterait de reproduire des Contribution FCSF Concertation Politique de la Ville Décembre 2012 situations, souvent vécues, où les rapports entre équipe MOUS et centre social se réduisent à l’échange des fiches-actions annuelles pour la demande de subvention.
  • Pour toutes ces raisons les moyens attribués aux centres sociaux doivent pouvoir faire l’objet d’une convention globale s’appuyant sur le projet social ayant permis l’agrément délivré par la CAF. Ce projet précisant les modalités de coopération du centre social au sein du projet de territoire et sa contribution au « contrat local » en cours.

La FCSF se tient à la disposition du ministère et des instances travaillant sur ces questions de la politique de la ville pour poursuivre le dialogue autour des propositions.

Pour télécharger ce rapport final et ses annexes,
cliquez ici 

A LILLE OU A ARQUES, DEUX REUNIONS D’INFORMATION SUR LES FINANCEMENTS 2013 DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE

L’équipe régionale Emploi – Formation CPNEF invite les acteurs de la branche professionnelle ALISAF à une réunion collective afin de présenter les modalités de financements de la formation professionnelle pour l’année 2013.

Deux réunions au choix, en présence d’Olivia RETIÈRE, conseiller formation d’Uniformation, :

Le mardi 15 janvier 2013 de 14h à 16h30 à LILLE
au Centre Social La Busette 1 rue Georges Lefebvre.

Ou

Le jeudi 24 janvier 2013 de 14h à 16h30 à ARQUES
au Centre Social Jean Ferrat rue Aristide Briand

Modalités d’inscription :

Merci de signaler votre participation par mail à : referentsformation@gmail.com en ndiquant la date de la rencontre, le nom de l’association et le nom de la personne présente.

Pour toute information, contactez vos référents Emploi Formation :

  • David SEZILLE (Fédération centres sociaux 62),
    Référent Emploi Formation ALISFA, O6 11 21 40 75
  • Laurence HOSPIE (Association Colline Aceppe 59/62),
    Co-référent Emploi Formation ALISFA, 03 20 88 26 49
  • Pascal MATOT (Fédération des centres sociaux du Nord),
    Co-référent Emploi Formation ALISFA, 06 12 36 23 75
  • Olivia RETIERE, Conseiller Uniformation, 06 28 23 41 22

CINE DEBAT… Projection du film Le magasin des suicides suivi d’un débat sur la dépression et le suicide, le samedi 12 janvier 2013 à Aire-sur-la-Lys

Dans le cadre d’un diagnostic social partagé, le centre socio culturel intergénérationnel s’est fixé des missions de prévention envers la population. Ainsi des actions de sensibilisation et d’information auront lieu à plusieurs reprises au cours de l’année 2013. Celles-ci prendront la forme de Théâtre-forum, de Ciné-débat et/ou de Colloques. Le SCI sollicite alors l’intervention de professionnels qualifiés en fonction de la thématique abordée pour répondre aux questions du public.

Dans le cadre d’un diagnostic social partagé, le CSCI s’est fixé des missions de prévention envers la population. Ainsi des actions de sensibilisation et d’information auront lieu à plusieurs reprises au cours de l’année 2013. Celles-ci prendront la forme de Théâtre-forum, de Ciné-débat et/ou de Colloques. Le SCI sollicite alors l’intervention de professionnels qualifiés en fonction de la thématique abordée pour répondre aux questions du public.

Le 12 Janvier prochain de 17h30 à 20h00, en partenariat avec l’Espace Culturel Aréa, sera organisé un ciné-débat ayant pour support le film « Le magasin des suicides » de Patrice Leconte. Le débat portera sur 3 thèmatiques : « Le mal-être, la dépression et l’état de crise suicidaire ». Sans être figés, les sujet abordés durant le débat seront : De la prévention à la gestion de l’urgence, « l’état de crises », Prévention des souffrances psychiques chez l’adolescent et l’adulte,  Dépistage et outils de prévention,  Orientation, L’accompagnement des personnes en souffrances, L’accompagnement thérapeutique et social,

Intervenants :

  •   Service des urgences de l’hôpital de Saint-Omer
  •  Centre Médico Psychologique d’Aire sur la Lys
  •  La Maison des Adolescents du Littoral62 site de Saint-Omer.

 Contact :

Anthony SURGA, Coordinateur Enfance/Jeunesse
Centre Socioculturel Intergénérationnel
201 rue de l’Avenir, Annexe Vauban
62120 Aire sur la Lys
Tél: 03 21 95 51 84

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Cette action s’adresse aussi bien aux professionnels qu’à la population (à partir de 16 ans). Je vous invite donc à diffuser cette information auprès de votre public et au sein de votre réseau.

 

Pour toute demande d’information complémentaire ou confirmation de votre participation, vous pouvez nous contacter aux coordonnées inscrites ci-dessous.

 

 

NUMERISATION DES PUBLICATIONS NOS VOISINS, NOS AMIS – CENTRES SOCIAUX – OUVERTURES : recherche des auteurs…

Histoire des Centres Sociaux, des Fédérations, « Service des Centres Sociaux » en Algérie, portraits d’acteurs… Mémoires Vives – Centres Sociaux  s’attache à sauvegarder et à faire connaître l’histoire de notre mouvement.

Numérisation des publications :
Nos voisins, nos amis – Centres sociaux – Ouvertures

Mémoires Vives – Centres Sociaux est en contact actuellement avec le CEDIAS- Musée Social (centre d’études, de documentation d’information et d’action sociales) afin de procéder à la numérisation de trois  publications de la Fédération des centres sociaux de France (FCSF) : Nos voisins, nos amisCentres sociaux, Ouvertures de 1946 à 2003. Cette opération sera réalisée dans le cadre d’un partenariat entre la Bibliothèque nationale de France (BNF) et le CEDIAS-Musée social.

Au terme de cette numérisation, les revues seront accessibles sur Internet, de façon libre et gratuite, par le biais des sites :

Appel aux auteurs et ayant-droits pour autorisation de mise en ligne

Il est en conséquence demandé aux auteurs ayant collaboré (illustrations, photos, articles) à ces titres, ou à leurs ayants droit, de bien vouloir remplir l’autorisation de mise en ligne FCSF et la retourner à l’adresse suivante :

Fédération des Centres sociaux et socioculturels de France
10, rue Montcalm, 75869 Paris Cedex 18

A l’issue d’un délai de 6 mois, prenant effet à compter de la date de publication du présent encart sur les sites internet de la FCSF, et sauf avis contraire des auteurs ou de leurs ayants droit, la Bibliothèque Nationale de France procèdera à la mise en ligne des volumes numérisés.

Il est cependant précisé qu’après cette mise en ligne, la Bibliothèque Nationale de France et le CEDIAS s’engagent à retirer tout article ou illustration en cas de réclamation de son auteur ou de ses ayants droit.

Pour télécharger l’autorisation de numérisation, cliquez ici

REFORME DE LA POLITIQUE DE LA VILLE : les centres sociaux de France contribuent à la réflexion

POUR TELECHARGER LES PREMIERES PAGES DU RAPPORT, CLIQUEZ ICI

POUR COMMANDER LE RAPPORT, CLIQUEZ ICI

Le premier rapport réalisé par la Fédération de Centres sociaux et Socioculturels de France (FCSF) et Question de Ville (association des directeurs des centres de ressources pour la politique de la ville)  a été construit à partir de paroles d’habitants des quartiers en politique de la ville.

Signalons que Sylvia Zappi, journaliste au Monde, a signalé la sortie de cette ouvrage sur son blog.

DES CENTRES SOCIAUX IMPLANTES DANS 15 QUARTIERS EN POLITIQUE DE LA VILLE
300 HABITANTS IMPLIQUES

Ce rapport est le fruit d’une démarche engagée en 2011 avec 300 habitants réunis lors de rencontres organisées par des centres sociaux situés dans 15 quartiers en politique de la ville et répartis sur l’ensemble du territoire métropolitain et dans un département d’Outre-Mer: à Lille (Nord), à Amiens (Somme), à Creil (Oise), à Clichy sous Bois et Montfermeil, à Rosny-sous-Bois, au Blanc-Mesnil (Seine-Saint-Denis), à Argenteuil, à Pontoise, à Persan (Val d’Oise), à Mérignac, à Bègles, à Bordeaux (Gironde), à Rive de Gier (Loire) et à Rémire Montjoly (Guyane).

Enrichir le travail de réflexion mené autour de la politique de la ville en associant les habitants au débat sur l’avenir des quartiers, c’est ce qu’ont souhaité la FCSF et Question de Ville avec cette « contribution citoyenne » et sa transmission en mains propres au Ministre délégué à la Ville, François Lamy.

UNE DELEGATION RECUE PAR LE MINISTRE DE LA VILLE

Une délégation composée de représentants des centres sociaux et des centres de ressources a effectivement été accueillie le 21 septembre dernier au Ministère pour échanger pendant une heure avec M. Lamy. A cette occasion, trois problématiques exprimés par les habitants ont plus particulièrement été mis en avant. Les deux réseaux invitent les pouvoirs publics à aller plus loin sur  : l’importance à donner à l’écoute des habitants, les problèmes liés à l’absence des services qu’ils soient publics ou privés, l’expression de la bienveillance des adultes par rapport aux jeunes. Ainsi la délégation a insisté auprès du Ministre sur la nécessité de laisser toute sa place à l’expertise habitante pour enrichir les travaux des instances en charge de la politique de la ville et sur l’enjeu à ce que les professionnels s’emparent des méthodes spécifiques de travail pour permettre à cette expertise de s’exprimer.

DES HABITANTS A LA TRIBUNE DE LA CONCERTATION POUR LA REFORME DE LA POLITIQUE DE LA VILLE

Le 22 novembre, a eu lieu au Ministère des Affaires sociales une réunion présidée par François Lamy (Ministre de la Ville). celle-ci marquait le mi-parcours de la concertation pour la réforme de la politique de la Ville. C’est dans ce cadre-là qu’une délégation d’une quinzaine d’habitants ayant participé au rapport « On voudrait entendre crier toutes les voix de nos cités »a pris la parole devant des élus, des professionnels de la Politique de la ville et des associations.

Des habitants présents à la tribune et originaires de qautre départements (Nord, Val d’Oise, Seine-Saint-Denis et Loire) ont  indiqué ce qui leur semblait, à titre personnel, le plus important à retenir de ce travail. Ont été ainsi abordés pêle-mêle les questions de mauvaise desserte des transport en commun, l’augmentation des loyers liés aux opérations de renouvellement urbain ou le fait que les bâtiments commencent déjà à se dégrader, faute d’entretien… Notons que ces propos sévères ont également été contrebalancés par des témoignages qui faisait état de la satisfaction d’avoir été relogé dans une résidence neuve. Ont également été abordés la détresse de la jeunesse, ainsi que la programmation des lieux culturels ne tenant pas toujours compte des goûts des habitants (« Ce sont des gens de l’extérieur qui viennent au Théâtre »).

Ces propos ont donné lieu à des échanges fructueux avec la salle et en particulier avec le Ministre, qui a réaffirmé l’importance de la participation des habitants dans la politique de la ville.

Nous espérons pour notre part que cette prise de parole aura contribué à promouvoir l’idée, partagée par Question de Ville et la FCSF, que la participation des habitants requiert, outre une véritable volonté politique, des compétences et des liens de confiance noués au fil du temps avec les habitants ; des éléments qui font parfois défaut aux acteurs publics. Sans oublier que l’expertise d’usage des habitants est indispensable pour une politique de la ville efficace et durable.

(source : Fédération des centres sociaux de France)

 

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